
A l'heure où les centres d'IVG parisiens se voient contraints de fermer leurs portes les uns après les autres et où le rapport de l'IGAS publié en début d'année conclut que le nombre d'avortements se maintient à 200 000 par an en France, je me réjouie du projet qui vient d'être présenté par la région Ile-de-France.